Ô mon Seigneur à la mention de ton nom,
Mon cœur tremble
Tu es la lumière des cieux et de la terre
Et ta lumière est comparable à une niche contenant une lampe
Comment trouver l’inspiration après coups
Quand ma douleur et ma tristesse m’étranglent
Je n’arrive pas à bouger mes membres
J’avale ma salive comme une boule qui traverse mon cou
La lampe est dans un cristal
Comparable à un astre resplendissant
Dont l’huile provient d’un olivier ni oriental, ni occidental
La lumière ne peut rejoindre la lumière que si le cœur devient transparent
Il existe deux obscurités
Une pour la forme et une autre pour le fond
Leur existence n’est que la conséquence de la faible luminosité
En ta présence, la guidée doit chasser la perdition
Ô toi la lumière des cieux et de la terre !
Fais du Coran, le soleil de ma raison
Comme celui qui dans le ciel éclaire la création
Afin que mon âme retrouve, avant l’heure, la bonne direction
Et je te miroiterai
Dans ton sublime nom
En illuminant les cœurs perdus puisque aveuglés
Par l’insouciance et l’incompréhension
Mahdy Ibn Salah