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Written by Mahdy Ibn Salah  •  Category: Psychologie  •   •  Hits: 6343

 mental

La thérapie musulmane ou la médecine des cœurs et des relations est une science fondamentale car par elle se soignent les différentes maladies qui affectent notre santé mentale, spirituelle ou relationnelle.

C’est pourquoi, elle constitue un lourd dépôt, dont la pratique ne doit être autorisée qu’à des personnes prédisposées spirituellement, et soigneusement formées par des croyants qui ne doivent évidement pas : s’opposer au Coran, à la Sunna, et ce, dans toutes les dimensions de leur existence !

En effet, les postulats de la thérapie musulmane reposent essentiellement sur les textes scripturaires, sur la croyance en l’unicité divine : le Tawhid, et sur l’empirisme, et non sur les visions de la psychologie occidentale ! En effet, il est nécessaire, si l’on tient à soigner de manière efficace de constituer un système de références et de concepts par lesquel chaque élément de ce dernier pris en particulier s’explique par le tout !

C’est pourquoi, il est indispensable pour celui qui fait de la « recherche en thérapie » de ne jamais s’arrêter face à une éventuelle impasse qui l’empêcherait de comprendre un cas et donc de le soigner. C’est dans cet état d’esprit, à titre illustratif, que nous avons élaboré des concepts de la « siamoiserie », de la « double facette » ou que nous avons développé des disciplines et des méthodes comme le « profilage et le mentalisme islamique », ainsi que la « roqya par pression physique ».         

 Ainsi, il est important de souligner qu’en thérapie musulmane, nous mesurons l’aptitude à pratiquer la discipline principalement à l’état spirituel du thérapeute, à la qualité de ses prestations, et surtout à l’efficacité de ses résultats, et non à l’obtention du diplôme d’Etat, par lequel il s’enorgueillira de son statut, et méprisera ceux qui, parmi les thérapeutes musulmans, remettront en cause leur formation !

En effet, la sincérité est l’une, si ce n’est la plus importante des conditions à vérifier avant de pratiquer la thérapie musulmane. Or, rivaliser d’animosité et de jalousie avec ceux qui pratiquent une discipline similaire, juste parce qu’ils pratiquent la même discipline, révèle de surcroît l’altération de notre sincérité puisqu’on livre effectivement toujours une guerre à ceux qui empiètent sur notre objectif quand cet objectif est une chose limité, et que nous le finalisons par l’intention !

A partir de là, il est important de mettre en relief l’une des règles évidentes, et de base, de la thérapie musulmane : « le thérapeute doit être en meilleur santé que son patient ! » Or, cette règle ne se vérifie pas dans le cas où les thérapeutes sont des psychologues non musulmans, par exemple, alors que les patients sont des musulmans, ou quand le thérapeute est manifestement laid spirituellement, voir égaré dans sa croyance et dans ses actes !

En effet, il est même possible que le thérapeute par sa « thérapie » accentue la maladie du patient, d’où le devoir de lutter contre les charlatans qui s’improvisent thérapeutes, et qui font plus de dégâts sur leurs patients qu’autres choses !

Sous oublier, le fait que tous les patients ne sont pas nécessairement soignables car il existe effectivement des cas où le patient est effectivement insoignable ! A l’instar de celui-ci qui par exemple veut utiliser le thérapeute comme un « moyen divinisé », et ce, sans opérer les changements indispensables dans sa vie susceptible d’améliorer son propre état !

 Que dis-je ! Il existe même des cas où le patient est un « piégeur » à la solde du diable, où son désir visiblement sincère de s’en sortir n’est qu’une manière d’ensorceler et de tromper le thérapeute afin que ce dernier s’engouffre à vouloir aider une personne insoignable, et ce, jusqu’à périr et succomber aux péchés, voire à la mécréance !

Comprenez, au final, que cette science qu’est la thérapie musulmane est une science fondamentale car par elle se ruinent tous les édifices sataniques sur lesquels repose le mal-être des gens ! C’est pourquoi, il faudra s’attendre à des représailles démoniaques car il s’agit bien ici d’un Jihad à livrer sur le terrain de la pensée et de l’état intérieur !

1. Le profilage

Le profilage est la première des sciences à étudier en vue de pratiquer la thérapie musulmane car la première étape de la thérapie consiste à cibler la problématique. Or, dans le profil du patient se trouve justement des éléments qui permettent d’expliquer le pourquoi de la maladie. C’est pourquoi, le profilage thérapeutique consiste à répertorier les éléments du profil susceptible de nous permettre d’expliquer le rapport qu’il y a entre le caractère et le mal-être d’un patient.

En effet, la constitution du traitement pour un patient, passe impérativement par le profilage car c’est à l’issue du profilage que l’on peut déterminer si le traitement sera étiologique ou symptomatique c’est-à-dire agissant à l’endroit de la cause ou des effets de la maladie !

En effet, il existe des cas où la cause de la maladie d’un individu est malheureusement externe, limitant le traitement à une action sur les symptômes, car il n’est hélas pas aisé de remédier à un problème personnel quand les raisons de ce problème réside dans une autre personne, à laquelle nous sommes intimement liés, et qui quant à elle, ne veut de son côté pas se soigner !

C’est pourquoi, de la même manière qu’il existe un handicap pour le corps, il existe aussi, en thérapie musulmane, des « handicaps pour les relations, l’âme ou le mental » dont certains sont remédiables, et dont d’autres ne le sont malheureusement pas !

C’est pourquoi la compréhension du mal-être participe de la thérapie, et que la patience dans la difficulté peut s’avérer être parfois, la seule solution thérapeutique, quand bien évidemment tout est mis en œuvre pour canaliser la négativité du patient !

 En effet, la patience n’a de sens que lorsque notre négativité en puissance est amortie par un contexte qui ne permet son renchérissement. Or, dans le cas où nous vivons dans un contexte qui développe notre négativité intrinsèque au lieu de l’amortir alors nous risquons indubitablement de souffrir perpétuellement à vouloir nous contenir ! 

Le profilage est donc une science indispensable qui ne concerne pas uniquement le domaine de la thérapie puisque cette science peut être utile aussi à l’endroit du mariage afin d’anticiper certaines incompatibilités caractérielles, ou dans le domaine du contre-espionnage, et du Jihad spirituel afin de déceler les éventuels espions, ou parasites qui aspirent à ruiner tous nos projets bénéfiques, que ces derniers relèvent de l’ordre temporel ou spirituel !

Aussi, le profilage s’intéresse aux trois éléments suivants:

  • -         Les parents
  • -         l’enfance
  • -         l’adulte

En effet, ce sont les parents qui déterminent la « nature » d’un individu en fonction de la manière et du contexte dont s’est opérée la procréation. A savoir, si cette dernière est saine et légale ou malsaine et illégitime !

Ensuite, c’est l’enfance qui détermine la « prédisposition » d’un individu, à savoir si la croissance s’est opérée selon une éducation ayant fait office de ligne directive dans le comportement.

Et enfin, c’est durant l’âge adulte que se constitue le « caractère » qui est le choix libre et réfléchi de contrer, et de développer ou rectifier, respectivement soit la « nature », soit la « prédisposition ».

A partir de là, il est important de mettre en évidence l’importance de l’environnement dans la construction d’une personnalité car celle-ci participe de la « disposition » d’un individu, si bien qu’une personne peut changer par le simple changement des circonstances qui font ce qu’elle est.

C’est pourquoi, il est indispensable de partager le genre humain en deux principales catégories : les meneurs et les suiveurs, de sorte de ne pas négliger l’importance du décor sur une personnalité, du fait que les premiers sont des personnes susceptibles de s’auto-orienter, tandis que la personnalité des seconds varient en fonction du décor et de l’attitude des meneurs qu’ils modélisent consciemment ou inconsciemment par l’effet de groupe par exemple ou adhésion au système de résidence.           

2. Le mentalisme

Le mentalisme est la science par laquelle on aspire à connaître une personne distante moyennant une analyse de son effet sur notre intériorité. C’est donc l’action d’analyser une personne externe à partir de notre intérieur.

Cette science complète la science du profilage car elle permet de lever certaines contradictions comme à l’endroit d’un patient qui possède une belle apparence et un bon discours, mais qui pourtant génère un effet négatif sur notre intériorité.

Elle constitue, par conséquent, un excellent rempart contre les patients hypocrites ou ignorants les causes essentielles de leur mal-être, que ces dernières soient volontairement occultées ou pas, puisqu’elle permet de cibler des zones d’ombre lors de la phase du diagnostique.

En effet, dans la thérapie musulmane, tous les détails ont leur importance et le thérapeute ne doit rien laisser au hasard, à l’incompréhension ou à l’incohérence. C’est pourquoi la « science des lapsus » ou celle de la « linguistique corporelle » qui est la science qui s’intéresse à la traduction des effets physiques d’une influence externe sur notre corps vont de pair avec la science du mentalisme et du profilage islamique.    

Cela étant, il est important de se connaître soi-même avant de faire un usage de cette discipline car sans une aptitude à distinguer nettement ce qui est interne et externe à notre personne, il est impossible de faire un bon usage du mentalisme islamique puisque la confusion empêche, de toute évidence, le jugement limpide.

Ainsi, la dimension spirituelle est d’une importance capitale pour ce qui concerne notre propos car « l’intuition angélique » sur laquelle doit se baser le thérapeute qui exerce le mentalisme islamique est capitale, et cette dernière sera évidement faussée, si nous commettons, par exemple, des péchés sans scrupule, d’où la nécessité pour le thérapeute musulman de maintenir un état spirituel lumineux stable !

A partir de là, il faut comprendre que la thérapie musulmane n’est pas un métier, ouvert à tous et à toutes, mais bien une fonction d’intérêt public comme l’enseignement d’ailleurs, qui doit être, par déduction, réservée à des gens pieux et surtout compétents !

Soulignons, au final, que l’intuition ne suffit pas à elle seule pour porter un jugement sur un cas ou établir une conclusion ! C’est pourquoi, l’une des missions du profileur est de faire tomber les masques quand par le mentalisme s’opère une contradiction entre l’apparence d’une personne et ce qu’elle dégage par son intériorité, et ce, moyennant des preuves rationnelles et palpables ou des ruses saines.

3. La spiritualité

Dans le prolongement de la science du profilage et du mentalisme islamique, la spiritualité musulmane participe de la thérapie musulmane car toute maladie trouve sa raison d’être, en réalité, dans l’éloignement vis-à-vis d’Allah !

 C’est pourquoi, il est indispensable d’aborder la discipline de la thérapie musulmane à travers le regard de la foi car à titre illustratif de nombreuses « maladies mentales ou relationnelles » résultent respectivement d’une déficience à l’endroit du Tawhid contemplatif ou pragmatique comme les personnes paranoïaques ou celles qui des conséquences de leur résidence au sein d’un décor ténébreux deviennent addicts à de grands péchés.

Ainsi, il est indispensable pour le thérapeute de maîtriser le monde de l’invisible car la foi en l’invisible, que cet invisible comprenne le dogme du destin, les événements de la fin des temps figurant dans la révélation, ou les anges et les djinns,  participent de la foi musulmane.

Or, il y a une étroite corrélation entre l’état spirituel d’un individu, l’emprise du démon sur lui, et le degré de sa maladie car s’opère un combat perpétuel pour tous, au sein de l’être humain : celui qui oppose les forces positives et lumineuses de l’être, aux forces négatives et ténébreuses qui veulent ; nous éloigner de la religion de vérité, nous enchaîner par des addictions illicites, nous isoler des gens profitables et lumineux, et nous déconnecter de la réalité !

Ainsi, il est important de mentionner qu’en thérapie musulmane, seul le patient possède les clés de sa propre guérison, tant qu’il donne la prédominance aux forces positives de son être sur les forces négatives, moyennant un Jihad intérieur.

Le thérapeute musulman apporte donc uniquement un soutien externe décisif afin de permettre la victoire interne de son patient.

 C’est pourquoi, la thérapie musulmane accorde une grande importance aux mondes invisibles, sans pour autant opérer une focalisation par laquelle certains se rendent malades à tout relativiser par rapport aux djinns, et aspirent à se déresponsabiliser !

Aussi, l’aptitude spirituelle à palper la « luminosité et les ténèbres » est une condition nécessaire à vérifier afin de pratiquer la thérapie musulmane. Or, cette aptitude est impossible pour la personne qui se livre aux péchés et qui consécutivement altère l’authenticité de son appréciation spirituelle !

En outre, la « roqya par pression physique » qui consiste à extraire des démons causateurs du mal-être peut compléter certaines thérapies, soit pour localiser des failles non élucidées car la non-résistance à la douleur de l’extraction révèle de surcroît une domination démoniaque qui nécessairement doit se traduire en actes par de la complicité de la part du patient !

Or, dans le cas où il y a une absence de failles évidentes et un non entretien en actes des ténèbres, alors la « roqya par pression physique » peut s’avérer être d’une grande utilité pour des personnes qui souffrent de gênes constantes car elle peut effacer en quelques minutes des maux, sans noms, qui peuvent durer, quant à eux, de longues années, si l’on ignore leurs provenances, et que l’on ne comprend pas leurs mécanismes !

4. La conciliation

La conciliation est une discipline de la thérapie musulmane car certaines maladies peuvent résulter de relations, particulièrement pour les personnes dont l’équilibre intérieur dépend du bon relationnel avec les personnes chères, à l’exemple des enfants envers leurs parents !   

 C’est pourquoi, le thérapeute doit faire le travail inverse de celui des démons, à savoir reconstruire et recoller les morceaux de l’édifice unificateur quand eux travaillent à diviser, à séparer, ou plus subtilement à faire en sorte que l’on aime et déteste une même personne, de sorte de s’auto-ensorceler.

Ainsi, le démon aspire à nous couper d’Allah et des gens, et le thérapeute musulman doit, par conséquent, réconcilier son patient avec Allah et les autres, particulièrement les personnes proches qui peuvent influer positivement sur lui !

Or, il existe des relations toxiques par lesquelles Satan aspire à nous rendre dépendant de la chose ou de l’être qui nous détruit, d’où le fait qu’il existe deux issues quant aux maladies relationnelles :

  • -         la réconciliation
  • -         la coupure

Ainsi, il est nécessaire de travailler à réconcilier les gens qui souffrent de séparations provoquées par le diable par lesquelles une animosité circonstancielle qui devrait disparaître par le dialogue et la communication est devenue une animosité intrinsèque qui a engendré de la crispation, de la froideur, et des renchérissements de méchanceté !

Dans le cas où la réconciliation est impossible en raison de l’absence de bonne volonté de la part d’un élément du couple ou d’une incompatibilité irrémédiable alors il devient nécessaire d’inviter à la coupure afin de ne pas laisser le patient tomber dans le piège de s’engouffrer à aimer et détester une même personne, ou de se frustrer à espérer d’une espérance mal placée !

Ainsi, la conciliation est d’une importance capitale en thérapie musulmane, et elle consiste à rétablir le dialogue et la confiance, interrompus et brisés par Satan, entre les deux éléments d’un couple moyennant un regard extérieur neutre et l’instauration d’un cadre et de règles à respecter.

Or, il peut arriver que certaines relations ne puissent se réconcilier d’une réconciliation stable en raison de la similitude des natures et de la présence d’un démon entre elle, car si effectivement aucun des deux éléments ne peut prendre sur lui pour rattraper l’autre alors il est impossible d’envisager une stabilité du bien-être relationnel !

C’est pourquoi le thérapeute musulman peut, parfois voire même souvent, juger nécessaire de rompre une relation amicale, familiale ou amoureuse quand cette relation s’avère être plus toxique que bénéfique !  

5. Le traitement

Après le ciblage de la problématique et la nomination de la maladie, ainsi que l’élucidation de la faille, la prescription d’un traitement est la dernière partie de la thérapie.

Il est important de mentionner que sans un ciblage de la problématique, ou sans une élucidation de la faille, il est impossible de prescrire un traitement d’où la nécessité de valider les étapes précédentes avant de passer aux étapes suivantes.

En effet, il est facile de cibler une maladie, de trouver une faille mais le plus important consiste à obtenir des résultats c’est-à-dire : soigner les symptômes de la maladie, calfeutrer les failles causatrices de cette dernière, et réparer les éventuels dommages !

Aussi, le traitement afin d’être complet doit comporter les différentes parties suivantes :

  • -         une consultation régulière afin d’évaluer l’amélioration de l’état
  • -         un programme spirituel composé de sciences à acquérir et d’actes à accomplir
  • -         une adhésion à un groupe lumineux afin de socialiser
  • -         un éloignement éventuel vis-à-vis des zones ténébreuses de proximité
  • -         Une pratique d’exercices physiques et intellectuels par lesquels on se réapproprie sa propre personnalité
  • -         Un programme de sevrage et de désintoxication ou de compensation vis-à-vis d’une addiction illégitime nuisible

En outre, l’accompagnement, moyennant un encadrement par un tuteur chargé de contrôler le respect du traitement est indispensable, car puisqu’il existe deux catégories d’individu, les meneurs et les suiveurs, alors il est évident que les suiveurs seront incapables de veiller, par eux-mêmes, au respect d’un programme.

C’est pourquoi, il n’est nécessaire de penser à proposer une forme de « thérapie de groupe » ou l’ambiance collective ferait office de thérapie, et ce, afin de ne pas s’éparpiller et gaspiller son potentiel à se dépenser individuellement pour des patients, en grand nombre ! C’est ce qui tend à démontrer par ailleurs qu’une thérapie est musulmane car l’islam réunit et ne serait, en effet, légitimer la division et l’individualisme !

Conclusion

  1. Qu’est-ce que la thérapie musulmane ?
  2. Quelles sont les conditions à vérifier de la part du thérapeute avant d’exercer la thérapie musulmane ?
  3. Quelles sont les conditions à vérifier de la part du patient afin de mériter une thérapie musulmane ?
  4. Qu’est-ce que la science du profilage ?
  5. A partir des différentes étapes de la vie qui intéresse cette dernière discipline établir les différentes combinaisons possibles en fonction de la variable « saine » et « malsaine »
  6. Qu’est-ce que la science du mentalisme ?
  7. En quoi cette science est-elle utile et quelles sont les sciences qui en dérivent ?
  8. Pourquoi, il est indispensable pour le thérapeute de maîtriser le monde invisible et en quoi la palpation de la lumière et des ténèbres est indispensable ?
  9. Qu’est ce que la science de la conciliation et quelles sont les deux principales issues de cette discipline ?
  10.  Quels sont les différents axes d’un traitement et en quoi l’accompagnement thérapeutique est important ?

People in this conversation

  • part 2:
    ou est ce que n'importe quel malade, par exemple 'un malade de type "double facette inversée" peut également dégager une importante énergie négative sur les thérapeutes, alors même qu'il lutte contre les aspects négatives causés par sa siamoiserie démoniaque, ou par des causes externes à lui même.
    Autrement dit, Cette énergie négative peut elle être simplement celle du démon qui est en lui, qui se répercute sur les thérapeutes puisqu'ils cherchent à soigner le malade, sans pour autant qu'il y ait de complicité ou suivi du démon de la part du malade? ou elle est forcément révélatrice de la responsabilité du malade dans sa maladie et de la dissimulation volontaire (ou involontaire?) de certaines choses?

    Eclairez moi sur ce point svp.Je vous remercie d'avance

    about 9 years ago
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  • part 1
    salam alaykom
    Je vous remercie pour cet écrit et sa précision, qu'Allah vous en récompense, et fasse qu'il porte ses fruits.
    J'ai une question concernant le mentalisme qui me paraît importante pour bien comprendre le tout. J'aimerai savoir s'il est absolument nécessaire que la personne malade soit fortement responsable de son mal être, et/ou dissimule des choses graves et importantes (grands péchés, déficiences dogmatiques), pour qu'elle soit source de forte énergie négative, ressentie par les thérapeutes?

    about 9 years ago
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