salam 3aleikoum, Je ne sais même pas par quoi commencé je m'excuse d'avance.. Je suis une jeune fille de 24ans, actuellement sans emploi, fiancée. Je souffre depuis presque 1an d'une " dépression sévère" je dirai.. je souffre constamment. Auparavant j'étais une femme pleine de vie, souriante, travailleuse. Depuis 1 an je pleure tout le temps, matin comme le soir, rien ne me rend heureuse. Je vie un cauchemar je suis dans un trou noir je sais plus comment faire pour m'en sortir j'ai l'impression de n'avoir aucun moyen de me sortir de là. Dans mon entourage personne ne comprend ma souffrance, personne ne comprend qu'il m'arrive de penser au suicide wal3yadoubillah.. Souvent je cri très fort tout en pleurant en conduisant à une allure affolante, ou soit je me griffe le visage, il y a quelque jours j'ai cassée mon smartphone, tout cela se passe quand je suis en crise de nerf et je ne contrôle pas. J'ai la haine contre tout le monde, tout ceux qui m'entoure je les déteste car j'ai besoin d'aide et personne ne comprend.. Coté acte d'adoration je ne prie que occasionnellement c'est à dire à la mosquée le vendredi, ou quand l'envie de me soumettre à Allah me viens soudainement. J'aime Allah je suis croyante, j'ai honte je pleure souvent à me dire que je ne prie pas alors que je devrai. Je suis des cours de science islamique tous les dimanches hamdoulilah c'est la seule journée ou je me sens vivre. Je suis morte intérieurement. J'ai besoin d'aide. Je ne dors pas. Je souffre je me souhaite la mort parfois. Désolé je me répète mais c'est pour vraiment souligner le degrés de souffrance. Qu'est ce qu'il m'arrive ? Pourquoi suis-je devenu la fille que je suis ? Pourquoi je n'arrive pas à adorer Allah comme il se doit ? Comment je vais m'en sortir ? S'il vous plait c'est un appel SOS.. Je ne veux pas perdre mon fiancé bien que lui aussi est quelqu'un de trop exigent, je ne veux pas qu'il s'en aille , de s'être lassé d'avoir une futur femme déprimé jamais contente. Je veux retrouver une vie normale. La liste est longue mais je vais m'arrêter là pour le moment.. je m'excuse pour ce long texte.
Wa 3aleikoum salam, okhty al ‘aziza,
D’ordinaire une séance thérapeutique comprend 4 principales étapes :
- le diagnostique
- le profilage
- l’élucidation de la faille
- la proposition d’un remède
Comprenez que la description de vos symptômes seule ne nous permettra pas de vous proposer un remède car chaque symptôme nuisible possède une cause qui se localise dans la faille c’est-à-dire un acte de complicité par lequel vous alimentez votre propre souffrance !
Ainsi, une séance thérapeutique s’avère indispensable pour vous dans la mesure où grâce à elle nous pourrons comprendre des éléments de votre souffrance que vous-même vous ne saisissez pas !
Cela dit, partons de l’hypothèse que vous êtes victime d’une dépression, sachez que l’on définit la dépression comment étant une déprime sans nom, une souffrance sans raison car si le déprime résulte de la perte d’un idéal, la dépression quant à elle résulte de la perte inconsciente d’un idéal d’où le fait que nous la définissons, en psychologie musulmane, comme étant une déprime subie !
En effet, certaines personnes peuvent subir des déprimes consécutivement à leur possession car en effet le djinn qui les possède quand il déprime de perdre un idéal peut faire subir à la personne qu’il possède une déprime qui prendra donc la forme d’une dépression ! Cette compréhension des choses n’est possible que si vous abordez la psychologie à travers un angle islamique d’où la nécessité de s’écarter de ces psychologues occidentalisés qui ne croient pas en la possession et qui de surcroit ne peuvent pas améliorer l’état de leurs patients ! Que dis-je ! Ils peuvent même accroître la maladie par leur négation de la possession au moyen de laquelle le démon est protégé dans son projet de destruction !
Et, il est vrai qu’il n’y a rien de plus horrible que de ne pas savoir mettre des mots à nos souffrances. D’ailleurs, c’est l’un des buts de la linguistique corporelle que de savoir mettre des mots à nos souffrances afin de pouvoir les comprendre et ensuite de les combattre pour efficacement les soigner. En effet, une maladie trouve sa force dans notre incapacité à comprendre notre souffrance d’où l’importance de consulter des thérapeutes musulmans chargés de nous aider à voir ce que nous ne parvenons pas à voir de notre souffrance et de notre maladie !
C’est pourquoi la dépression traduit en réalité la victoire de la douleur sur la personnalité ! Or, il nous appartient le devoir de lutter contre la douleur d’où la méthodologie de la roqya par pression physique que nous avons mis en place, au moyen de laquelle, nous parvenons à personnifier le démon qui nous possède dans la douleur que nous devons patienter pour l’éradiquer !
C’est pourquoi l’incapacité à patienter la douleur de la pression exercée lors de la roqya nous permet avec certitude de localiser une domination démoniaque consécutive d’une faille entretenue par le patient même si ce dernier l’a volontairement occulté lors de la phase diagnostique !
C’est pourquoi l’incapacité à patienter la douleur de la pression exercée lors de la roqya nous permet avec certitude de localiser une domination démoniaque consécutive d’une faille entretenue par le patient même si ce dernier l’a volontairement occulté lors de la phase diagnostique !
Pour ce qui concerne la dépression, la localisation de la faille se détermine par l’analyse de la période de transition entre l’état de bien-être et celui du mal-être car c’est à ce moment que le djinn a constaté la perte de son idéal. Aussi, il faut regarder durant cette période de transition : quels sont les changements dans votre comportement qui auraient pu générer la déprime du djinn qui vous possède ? Et sachez que ce changement traduit l’arrêt d’un agissement allant dans le sens de votre djinn d’où l’élucidation de la faille car nécessairement aller dans le sens d’un djinn, qui plus est peut être un démon, implique de faire quelque chose de pas bien !
Je vous invite toutefois à prendre rendez-vous en appelant le 0652285123 afin de compléter votre thérapie.
Mahdy Ibn Salah
